Le Lycée Professionnel Tristan Bernard en sursis !
Le 4 mai 2023, le président de la République a annoncé une nouvelle réforme de la voie professionnelle qui a fait l’effet d’une bombe. Cette annonce a choqué la communauté éducative du L.P Tristan Bernard. Cette réforme se traduirait dans l’établissement par la fermeture des filières tertiaires : accueil, commerce, vente, gestion administration. Si les décisions sont actées, 80% des formations de notre lycée seraient fermées. Les élèves qui envisageaient une poursuite d’étude dans le tertiaire n’auraient plus de lycée à proximité pour les accueillir. Les élèves n’ayant pas accès aux voies générales devront partir de force dans les filières de l’industrie. L’orientation d’un adolescent du secteur de Besançon, comme ailleurs serait faite par des choix politiques. Nous n’acceptons pas ce choix radical. Nous n’acceptons pas ce plan social pour la communauté éducative. Le fait d’enseigner en lycée professionnel est un véritable choix de carrière. Une reconversion en collège ou comme professeur des écoles ne s’improvise pas. Quel manque de respect, pour la formation de chacun d’entre nous. Ce mépris affiché, nous oblige à réagir. Nous serons en grève le mardi 6 juin 2023 à l’appel de l’intersyndicale de la voie professionnelle.
Décision de l’AG du 30 mai 2023 Lycée professionnel T. Bernard
L’ÉDUCATION NATIONALE CIBLE DE TOUTES LES ATTAQUES
TOUTES LES RAISONS DE SE MOBILISER LE 6 JUIN
RÉSUMÉ DE LA POLITIQUE SALARIALE ;
LE PACTE, C’EST QUOI ?
POURQUOI C’EST INACCEPTABLE ?
DES CONTRE-RÉFORMES QUI ABIMENT LE SENS DU MÉTIER…
QUI ONT DES CONSÉQUENCES SUR LES PERSONNELS ;
UNE MISE QU PAS GÉNÉRALISÉE …
LE SNU SORT PAR UNE PETITE PORTE ET RENTRE PAR UNE AUTRE…
POUR NOS RETRAITES, NOS SALAIRES? CONTRE LES RÉFORMES ET ATTAQUES PORTÉES CONTRE NOTRE SYSTÈME ÉDUCATIF ET LES PERSONNELS QUI Y TRAVAILLENT. POUR NOS ÉLÈVES ? LEUR CONDITIONS D’ÉTUDES ET NOS CONDITIONS DE TRAVAIL…
Depuis le 19 janvier, la mobilisation et les grèves contre la réforme Macron des retraites connaissent une réussite exceptionnelle rassemblant des millions de personnes partout en France. Dans tous les secteurs, du privé comme du public, les salarié·es et les retraité·es, mais aussi la jeunesse, sont très largement mobilisé·es contre ce projet réactionnaire. Cette immense contestation n’a qu’un objectif : refuser la retraite à 64 ans et l’allongement des carrières ou la diminution déguisée des pensions. Pour faire plier le gouvernement, uniquement soutenu par le patronat, nous n’avons plus d’autre choix que d’amplifier à nouveau cette mobilisation et de durcir le ton.
Dès le 7 mars, la CGT Éduc’action appelle à nouveau les personnels à se mobiliser très largement pour mettre à l’arrêt toute l’Éducation nationale. Elle les appelle aussi à décider des formes de reconduction de la grève dès ce 7 mars, avec entre autre, la participation à la grève féministe du 8 mars. À nous de gagner le retrait de ce projet rétrograde et d’imposer nos revendications.
En 1982, l’âge de la retraite était fixé à 60 ans pour 37,5 ans de cotisation (5 ans plus tôt pour les catégories actives). Depuis les premières contre-réformes de 1993, on est passé à 40 ans de cotisation et un allongement progressif vers 43 ans (réforme Touraine) avec un départ à 62 ans minimum… À chaque fois, ces régressions sociales nous ont été présentées comme absolument nécessaires afin de sauver définitivement le système de retraite… Aujourd’hui, on nous ressert les mêmes arguments fallacieux pour imposer un report de l’âge de départ à 64 ou 65 ans et/ou un allongement de la durée de cotisation. Les mêmes recettes provoquent les mêmes dégâts : destruction du système des retraites, appauvrissement des retraité·es, précarité du marché de l’emploi…
MANIFESTATION :
BESANÇON, à 14h, Place de la Révolution
BELFORT : Manifestation – 10h00 – Maison du Peuple
DOLE : 10h30 – Avenue Lahr
LONS LE SAUNIER : 15h00 – Place de la liberté
MONTBÉLIARD : Manifestation – 14h – Champ de Foire
SAINT- CLAUDE : Manifestation – 10h00 – Rue de Rottenbourg
VESOUL : Rassemblement à 9h00 sur le pont de la nationale 19 (à hauteur du Cora), puis manifestation jusqu’au rond-point de la Vaugine, puis direction l’Hôpital de Vesoul
Parce que 4 ans seulement après la Transformation de la Voie Professionnelle de J.M. Blanquer qui a déjà malmené le Lycée Professionnel, ses formations et ses personnels, le pouvoir s’acharne à vouloir les éreinter davantage, au profit de l’apprentissage et du CFA promus comme modèles.
Parce que le Ministère qui se prétend pourtant ouvert au dialogue social et à la concertation annonce comme non négociable l’augmentation de 50% des périodes de stage en entreprise. Le passage de 22 à 33 semaines des PFMP en BAC PRO, annoncé pour la rentrée 2023, compromettra évidemment la formation des élèves, en enseignement général et professionnel, ainsi que leurs possibilités de poursuite d’études dans le supérieur.
Ainsi, des BAC PRO passeraient de 8 semaines de stage à 12 en terminale ; ce qui signifierait qu’il ne resterait que 23 semaines de cours sur les 35 de l’année scolaire !
Pour les PLP, l’augmentation des périodes de stage entraînera immanquablement une annualisation du temps de travail des professeurs laissés vacants et donc des suppressions de postes à la pelle, voire un transfert d’enseignants dans le secondaire comme le décret (inquiétant) du 20 juin 2022 y autorise. Veut-on faire des PLP bivalents d’EG les nouveaux PEGC chargés de faire bouche-trous en collège ? Quant aux PLP d’EP, leur avenir est-il d’être versés dans les CFA ou de devenir professeurs de technologie en collège ?
Ce sont nos métiers de PLP et nos statuts qui sont clairement menacés par cette réforme.
Parce que Macron a ressorti la fausse « bonne idée » de l’autonomisation des établissements qui décideraient des répartitions horaires au détriment du cadre national qui garantit aux élèves la même quantité d’heures de cours dans chaque discipline.
Et comme Macron a annoncé simultanément vouloir renforcer l’enseignement des fondamentaux, français et mathématiques, mais avec une année réduite à cause des 50% de stage en plus, quelles disciplines moins fondamentales verraient leurs heures de cours amputées ? Comment faire plus avec moins ? Nul ne le sait, et surtout pas le Président qui renvoie ce problème insoluble au local, à l’autonomie renforcée des établissements.
De telles « expérimentations locales » fragiliseraient évidemment toutes nos disciplines et tous nos postes d’enseignants.
Parce que la réforme Macron réunit – et c’est exceptionnel – l’unanimité des syndicats d’enseignants de LP contre elle, c’est qu’il y a franchement de quoi s’en alarmer.
Les seuls combats qu’on est sûr de perdre sont ceux qu’on renonce à mener.
Le seul moyen de pousser le gouvernement à renoncer à sa réforme mortifère, c’est de lui adresser un signal massif de franche opposition le 18 octobre. Sinon, les jeux seront faits, et il sera trop tard pour s’en plaindre ensuite. Soyons sûrs que le taux de gréviste sera observé par le Ministère et qu’il avancera ses pions en fonction de notre réaction qu’il appréhende.
Tous en grève le 18 octobre pour dire NON à la méforme Macron des LP !
APRES UN RASSEMBLEMENT DEVANT VOS ETABLISSEMENTS, GRANDE MANIFESTATION A BESANCON 15 HEURES PLACE DU 8 SEPTEMBRE
Le président Macron persiste à vouloir imposer aux personnels sa réforme des lycées professionnels calquée sur le modèle de l’apprentissage. C’est un exemple révélateur que la méthode ne change pas : aucun bilan de la réforme précédente, aucune concertation en amont de cette annonce brutale et une feuille de route tardive (et floue) alors même que des décisions lourdes de conséquences sont en préparation.
L’augmentation du nombre de semaines de stage impliquera moins de semaines d’enseignement dans nos lycées. Si le président a enfin concédé à dire que l’enseignement général doit rester une composante de la formation des jeunes, il l’a évoqué surtout à l’aune de disciplines qui seraient « fondamentales ». Les langues vivantes, l’éco droit, l’éco gestion, les arts appliqués, l’EPS, la PSE seront-elles considérées comme fondamentales et les postes des collègues concernés préservés ? Sa volonté de renvoyer la ventilation du volume d’enseignement général au niveau local impliquera une remise en cause du caractère national de l’accès aux formations professionnelles pour les jeunes et des diplômes professionnels. Nos organisations syndicales sont fermement attachées au principe d’égalité de notre école républicaine et revendiquent le maintien d’une grille horaire nationale pour toutes les filières professionnelles. Elles revendiquent aussi une dimension émancipatrice de la formation des jeunes à laquelle participent toutes les disciplines.
Cette diminution du temps scolaire percutera aussi les enseignant·es de matière professionnelle pour qui le président a déjà annoncé un vaste plan de reconversion. L’expérience vécue dans ce domaine par nos collègues de Gestion-Administration nécessite des engagements fermes du ministère pour permettre de vraies reconversions et se donner les moyens d’une vraie politique RH. Nos élèves sont contraints par les lieux de stages. Nombreuses sont les entreprises qui ne peuvent pas leur proposer l’intégralité des plateaux techniques et des activités développées dans les lycées professionnels pourtant indispensables à l’obtention de leur diplôme.
Il veut imposer dès la 5ème de collège un dispositif « Avenir » consistant à dédier une demi-journée par semaine pour découvrir les métiers et les entreprises. Pour nos organisations il faut renforcer les missions et le nombre de personnels d’orientation et préparer les collégiens à tous les parcours d’orientation sans exception.
Oui la carte des formations doit évoluer, nous le portons haut et fort depuis des années. Pour nos organisations elle doit évoluer dans l’intérêt général du pays au prisme des grands enjeux écologiques, de la prise en charge du Grand âge, de la nécessaire réindustrialisation, du numérique… D’aucune façon, son « évolution » ne doit se restreindre à la seule mise en adéquation avec les besoins économiques immédiats et locaux des entreprises : chaque jeune, quel que soit le lieu géographique de son lycée professionnel, doit pouvoir trouver la formation de son choix.
Pour nos organisations syndicales la CGT Agri, la CGT Educ’action, la CNT-FTE, le SE-UNSA, le SNALC, le SNEP-FSU, le SNES-FSU, le SNFOEP, le SNUEP-FSU, la CGT Enseignement privé, le SNETAA-FO, le SNETAP-FSU, le SNUPDEN-FSU, le SUI-FSU, SUD rural et SUD Éducation, l’urgence est de renforcer les lycées professionnels et de donner plus de temps et de moyens aux personnels pour faire réussir tous les élèves.
La réforme est à l’opposé de nos ambitions, c’est pourquoi nos organisations appellent à une journée de grève le mardi 18 octobre, point de départ de la mobilisation pour obtenir le retrait de ce projet.
AUGMENTEZ LES SALAIRES MAINTENANT ! DE VRAIS CRÉATIONS DE POSTES !
Si pendant des décennies intégrer l’Éducation nationale
assurait pour beaucoup d’entre nous une promotion sociale par
rapport à la génération précédente, ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui, toutes catégories confondues.
Le manque d’attractivité de l’Éducation nationale a de
multiples causes mais la question salariale est centrale.
Des personnels de catégorie C se retrouvent à peine au-dessus du SMIC, des personnels non titulaires
aux temps partiels subis peinent à boucler leurs fins de mois…
Les autres personnels (catégories A et B), voient leur salaire baisser avec l’inflation.
A qualification égale ou niveau de recrutement équivalent, les salaires du privé sont bien plus attractifs.
Même le Sénat reconnaît ce décrochage dans un rapport de novembre 2021…
GRÈVE ET MANIFESTATION LE 27 JANVIER 2022
Belfort 9h AG Maison du Peuple 10 H manifestation
Besançon10h30 Place de la Révolution
Dole 10h30 Avenue de Lahr
Montbéliard 14h Champ de Foire
Lons-le-Saunier 15h Place de la Liberté
Il y a urgence car l’inflation gagne du terrain !!
Décrochage des salaires et paupérisation des fonctionnaires !
(gel du point d’indice depuis 2010 = perte de 10% de salaire)
Exigeons un autre politique salariale pour les agents afin d’être rémunéré dignement !!
– Primes dangereuses à long terme: elles ne comptent pas pour le calcul de la retraite, ont une durée limitée et représentent une différence d’équité de traitement entre les agents.
– Femmes/hommes: toujours loin de l’égalité. Le salaire des femmes reste inférieur à celui des
hommes avec une répercussion très négative sur le montant de leur retraite..
– ATSS, AED, AESH, personnels administratifs: les grands oubliés du Grenelle, pour eux des miettes
Cette situation est inadmissible !!
La CGT Éduc’action revendique:
– L’augmentation de la valeur du point d’indice et
le rattrapage immédiat à hauteur de 400€ pour tous les personnels.
– Le retour à l’indexation de la valeur du point d’indice sur l’inflation
– La titularisation des contractuel-les comme fonctionnaires de plein droit
– La création de postes statutaires pour répondre à tous les besoins.
– le renforcement des statuts pour préserver l’indépendance du fonctionnaire
ainsi que la garantie de ses droits.
Après la journée de grève et les mobilisations du 13 janvier, les personnels se sont largement mis en grève pour dénoncer notre état de fatigue et la dégradation de nos conditions de travail. La réponse de notre ministère n’est pas du tout à la hauteur de la situation. Les miettes concédées par ce gouvernement sont insuffisantes. Depuis de nombreuses années, nous subissons des politiques d’austérité qui suppriment des postes, génèrent des manques flagrants de personnels, attaquent la liberté pédagogique et vident de sens notre métier. Surtout, le gouvernement n’a répondu à aucune revendication salariale des personnels ! A cela, nous pouvons ajouter; – Aucun engagement chiffré sur le recrutement sur liste complémentaire cantonné au 1er degré ! – Amplification du recours aux emplois précaires ! La CGT Éduc’action de l’académie de Besançon appelle les personnels à lister les besoins dans les écoles, les établissements et les services et à discuter des suites de la mobilisation. La CGT Éduc’action de l’académie de Besançon appelle les personnels de l’Éducation nationale à être massivement en grève le 27 janvier dans le cadre de la journée de grève interprofessionnelle, au côté des salariés du privé et des autres agents du public, confrontés eux aussi aux mesures d’austérité du gouvernement et du patronat. Nous revendiquons:
Une augmentation immédiate des salaires, notamment par l’augmentation significative de la valeur du point d’indice !
Un recrutement immédiat et à hauteur des besoins de personnels sous statut dans les écoles, les établissements et les services !
De réelles mesures de protection pour les personnels et les élèves !
De véritables mesures de sortie de la précarité pour les AED et AESH concernant les conditions d’emploi et de salaires !
TOUTES ET TOUS EN GRÈVE ET EN MANIFESTATION LE 27 JANVIER !
Publication : 29 octobre 2021 Mis à jour : 1 novembre 2021
Nouvelles grilles catégorie C
Au 1 janvier 2022 + Mesures transitoires
Reclassement dans les nouvelles grilles avec une accélération de carrière d’un an
Le reclassement des agents concernés dans les nouvelles grilles s’effectuera au 1er janvier 2022. Après cette opération, une bonification exceptionnelle d’ancienneté d’un an sera appliquée à tous les agents des trois grades.
Publication : 20 octobre 2021 Mis à jour : 21 octobre 2021
Contrôle du statut vaccinal par les personnels de l’Éducation nationale Il y a danger.
Alors que la proposition de loi sur la vigilance sanitaire est examinée à l’Assemblée nationale, les parlementaires viennent d’adopter ce mercredi 20 octobre 2021 un amendement du gouvernement visant à permettre aux « directeur·trices des établissements d’enseignement scolaire du 1er et du 2nd degrés et les personnes qu’ils habilitent spécialement à cet effet » d’avoir accès aux informations relatives au statut virologique des élèves, à l’existence de contacts avec des personnes contaminées ainsi qu’à leur statut vaccinal.
Publication : 20 octobre 2021 Mis à jour : 15 novembre 2021
Connaître ses droits
pour les faire respecter
Les assistant∙es d’éducation ne veulent pas être des pion∙nes !
Marre de ne pas être entendu·es et d’être méprisé·es !
Marre d’être corvéables !
Marre d’être sous payé·es !
Marre d’être révocables à merci !
Lespersonnels de la Vie Scolaire ont des droits (trop souvent méconnus) et sont écrasés par les obligations mises en avant par l’employeur ou l’urgence du quotidien. Alors que l’importance et le rôle central de ces personnels au sein des établissements n’est plus à prouver, leur nombre ne cesse de diminuer. De plus, le recrutement arbitraire par les chef·fes et le risque de non-renouvellement des contrats fragilisent ces personnels et rend difficile toute contestation…
La CGTÉduc’action est là pour vous représenter et faire reconnaitre vos droits.
Publication : 20 octobre 2021 Mis à jour : 21 octobre 2021
Non, JM Blanquer n’est pas la République !
La CGT Éduc’action sait depuis longtemps que Jean-Michel Blanquer a un problème avec les personnels de son ministère et avec des notions pourtant importantes comme la liberté pédagogique, la laïcité et le statut général de la fonction publique.
Il vient de franchir une nouvelle limite en menaçant les enseignant·es qui auraient un « problème avec les valeurs de la République ». C’est inacceptable.
Publication : 14 septembre 2021 Mis à jour : 15 septembre 2021
Les 18 derniers mois ont souligné l’importance de la nécessité d’un plan d’urgence pour l’École comme la CGT Éduc’action le revendique depuis longtemps. Il n’en est malheureusement rien ! Aucune mesure ministérielle pour améliorer les conditions de travail des personnels et d’études des élèves. Aucun plan de titularisation des personnels précaires ni aucune création de postes supplémentaires pour alléger les effectifs par classe et accompagner les élèves… Rien n’a permis d’aborder sereinement cette rentrée.
Le mépris ministériel récurrent se traduit également dans les revalorisations salariales actées ou proposées. Elles laissent un goût amer aux personnels alors que leurs attentes étaient fortes. La prime d’attractivité est loin d’être satisfaisante en termes de montant et de forme (indemnitaire et non indiciaire), discriminante et laisse de très nombreux collègues sans perspective d’augmentation. Reprenons la main et portons nos justes revendications pour obtenir un plan d’urgence.